Exposition Jun Nguyen-Hatsushiba à la Fondation Espace Ecureuil : Fiche de salle
- Préparation en amont, hors les murs
- Médiation sonore
- Expérience en milieu aquatique lire la suite
Médiation pensée pour un groupe d'enfants déficients visuels avec troubles associés.
Choix d'une seule œuvre de l'exposition : « Memorial Project Nha Trang, Vietnam – Toward the Complex, For the Courageous, the Curious and the Coward »
Le médiateur reçoit les éducateurs et le musicothérapeute au centre d'art pour découvrir l'exposition et imaginer le projet ensemble.
L'idée est également que les médiateurs et les encadrants apprennent à se connaître et construisent une vraie relation de personne à personne.
Nous notons tous ce qui est de l'ordre de la sensation dans cette installation vidéo :
• Un son particulier
• La fraîcheur du lieu
• La sensation d'humidité dans cette pièce en sous-sol en brique
• Une sensation spatiale un peu étouffante
Ces sensations peuvent être intéressantes à explorer mais elles peuvent être aussi sources d'anxiété pour des enfants handicapés. Il faut donc les amener à apprivoiser ces sensations. Nous décidons de partir de ce postulat pour construire notre travail en amont de la visite au centre d'art.
- Identifier les profils qui correspondent au projet parmi les enfants
- Dialoguer avec l'ensemble de l'équipe pour présenter le projet et voir qui est partant pour y participer
- Expliquer le projet aux enfants participants
Le musicothérapeute travaille avec les enfants à l'élaboration d'un paysage sonore sur la base des sons et des sensations « aquatiques » de la vidéo.
L'idée est de les préparer en rendant l'environnement sonore familier. Structurer la sortie en leur donnant des repères.
Le médiateur est présent à cette étape, ce qui lui permet de se présenter.
Les enfants le rencontrent dans un espace connu et créent ainsi une relation de confiance transposable ensuite au centre d'art.
Le médiateur prend en charge le groupe et le guide dans une exploration sensitive et cognitive de la vidéo.
Description de la vidéo.
Jeu de projection.
Accompagnement par le musicothérapeute : jeu autour des sons produits en atelier.
Pour continuer sur le thème de l'eau et prolonger le travail autour des sensations « aquatiques », les éducateurs emmènent le groupe d'enfants à la piscine. C'est l'occasion de jouer avec les sons et avec les corps pour tester par soi-même les conditions de la vidéo (pesanteur, respiration, sons étouffés…).
Médiation pensée pour un groupe d'enfants déficients visuels avec troubles associés.
Choix d'une seule œuvre de l'exposition : « Memorial Project Nha Trang, Vietnam – Toward the Complex, For the Courageous, the Curious and the Coward »
Le médiateur reçoit les éducateurs et le musicothérapeute au centre d'art pour découvrir l'exposition et imaginer le projet ensemble.
L'idée est également que les médiateurs et les encadrants apprennent à se connaître et construisent une vraie relation de personne à personne.
Nous notons tous ce qui est de l'ordre de la sensation dans cette installation vidéo :
• Un son particulier
• La fraîcheur du lieu
• La sensation d'humidité dans cette pièce en sous-sol en brique
• Une sensation spatiale un peu étouffante
Ces sensations peuvent être intéressantes à explorer mais elles peuvent être aussi sources d'anxiété pour des enfants handicapés. Il faut donc les amener à apprivoiser ces sensations. Nous décidons de partir de ce postulat pour construire notre travail en amont de la visite au centre d'art.
- Identifier les profils qui correspondent au projet parmi les enfants
- Dialoguer avec l'ensemble de l'équipe pour présenter le projet et voir qui est partant pour y participer
- Expliquer le projet aux enfants participants
Le musicothérapeute travaille avec les enfants à l'élaboration d'un paysage sonore sur la base des sons et des sensations « aquatiques » de la vidéo.
L'idée est de les préparer en rendant l'environnement sonore familier. Structurer la sortie en leur donnant des repères.
Le médiateur est présent à cette étape, ce qui lui permet de se présenter.
Les enfants le rencontrent dans un espace connu et créent ainsi une relation de confiance transposable ensuite au centre d'art.
Le médiateur prend en charge le groupe et le guide dans une exploration sensitive et cognitive de la vidéo.
Description de la vidéo.
Jeu de projection.
Accompagnement par le musicothérapeute : jeu autour des sons produits en atelier.
Pour continuer sur le thème de l'eau et prolonger le travail autour des sensations « aquatiques », les éducateurs emmènent le groupe d'enfants à la piscine. C'est l'occasion de jouer avec les sons et avec les corps pour tester par soi-même les conditions de la vidéo (pesanteur, respiration, sons étouffés…).
- Rapport d'échelle (infiniment petit/infiniment grand)
- Déplacement : plusieurs manières de l'aborder
- Points communs dans les vidéos : le mouvement / la respiration / l'ambiance sonore absente alors qu'elle est très présente dans les images
- Idée de l'épreuve, le rapport au corps
- Individu / anonymat face à la multitude
- Du général au particulier (appréhension de l'exposition dans son ensemble, la question de la scénographie) lire la suite
Notions clé :
- Rapport d'échelle (infiniment petit/infiniment grand)
- Déplacement : plusieurs manières de l'aborder
- Points communs dans les vidéos : le mouvement / la respiration / l'ambiance sonore absente alors qu'elle est très présente dans les images
- Idée de l'épreuve, le rapport au corps
- Individu / anonymat face à la multitude
- Du général au particulier (appréhension de l'exposition dans son ensemble, la question de la scénographie)
- Présentation du lieu (espace physique) et de l'exposition (approche générale)
- Description de chacune des pièces de la Fondation écureuil, en s'y déplaçant au fur et à mesure. Pour chacune des pièces : se limiter à la description de l'espace et présenter verbalement les œuvres en décrivant leur taille, la forme et leur disposition
exemple : une œuvre faite de 8 écrans, une carte qui occupe tout le mur (leur faire toucher la largeur et préciser que cette carte va jusqu'au plafond), une installation avec des objets....
Objectif : créer un ressenti direct : comment faire en sorte que la personne qui ne voit pas ou qui voit mal ait accès à ce ressenti en dehors d'une explication verbale que nous donnerions.
Création d'outil multi-sensoriel : tactile, auditif, de l'ordre du vécu ou encore olfactif
L'accompagnement oral reste indispensable.
• « Breathing is free : 12 756, 3 kms » (8 vidéos murales muettes)
Comment retranscrire l'idée de la course, de l'effort, et le contexte dans lequel les courses ont lieu.
> Outil de médiation pour évoquer le contexte dans lequel l'artiste court : du son, des bruits de rue, de villes d'ailleurs qui permettraient de retranscrire les différents environnements dans lesquels l'artiste court et d'amorcer l'idée d'un déplacement. Evoquer par le son, l'idée d'un ailleurs.
> Outil de médiation pour évoquer la course :
Faire courir des personnes autour du groupe (idée de happening) : écoute de la respiration, du souffle, du bruit des pas. Mise en scène et expérience physique : pour apporter un ressenti proche de la perception visuelle que l'on a par les vidéos
• « Breathing is free : 12 756,3 kms : Toulouse 49 Meters 49 Times » (grande projection vidéo. Un homme court en avançant vers nous. Plusieurs bande-film sont superposées et le rendent flou)
Comment faire percevoir la disparition, superposition, présence qui envahit l'écran, présence fantomatique, homme qui vient sur nous ?
> Outils de médiation : passer un voile sur le visage et faire écouter une bande sonore du lieu dans lequel cette course s'est passée (place du capitole, Toulouse). Dans la bande son les bruits se superposent petit à petit jusqu'à saturation : créer impression de répétition, crescendo. Au départ une personne court seule et au fur et à mesure, le nombre des personnes augmente.
• Série des images satellite (plan de ville avec tracé du parcours couru)
> Outils de médiation : reproduction de l'image en plus petit. Renforcer les contrastes pour mettre en évidence le vert. Carte tactile (tracé du parcours en relief). Piste olfactive : faire sentir des végétaux (cf feuille et plante représentées par le parcours du coureur sur la carte).
Discussion entre public et médiateur
Notions clé :
- Rapport d'échelle (infiniment petit/infiniment grand)
- Déplacement : plusieurs manières de l'aborder
- Points communs dans les vidéos : le mouvement / la respiration / l'ambiance sonore absente alors qu'elle est très présente dans les images
- Idée de l'épreuve, le rapport au corps
- Individu / anonymat face à la multitude
- Du général au particulier (appréhension de l'exposition dans son ensemble, la question de la scénographie)
- Présentation du lieu (espace physique) et de l'exposition (approche générale)
- Description de chacune des pièces de la Fondation écureuil, en s'y déplaçant au fur et à mesure. Pour chacune des pièces : se limiter à la description de l'espace et présenter verbalement les œuvres en décrivant leur taille, la forme et leur disposition
exemple : une œuvre faite de 8 écrans, une carte qui occupe tout le mur (leur faire toucher la largeur et préciser que cette carte va jusqu'au plafond), une installation avec des objets....
Objectif : créer un ressenti direct : comment faire en sorte que la personne qui ne voit pas ou qui voit mal ait accès à ce ressenti en dehors d'une explication verbale que nous donnerions.
Création d'outil multi-sensoriel : tactile, auditif, de l'ordre du vécu ou encore olfactif
L'accompagnement oral reste indispensable.
• « Breathing is free : 12 756, 3 kms » (8 vidéos murales muettes)
Comment retranscrire l'idée de la course, de l'effort, et le contexte dans lequel les courses ont lieu.
> Outil de médiation pour évoquer le contexte dans lequel l'artiste court : du son, des bruits de rue, de villes d'ailleurs qui permettraient de retranscrire les différents environnements dans lesquels l'artiste court et d'amorcer l'idée d'un déplacement. Evoquer par le son, l'idée d'un ailleurs.
> Outil de médiation pour évoquer la course :
Faire courir des personnes autour du groupe (idée de happening) : écoute de la respiration, du souffle, du bruit des pas. Mise en scène et expérience physique : pour apporter un ressenti proche de la perception visuelle que l'on a par les vidéos
• « Breathing is free : 12 756,3 kms : Toulouse 49 Meters 49 Times » (grande projection vidéo. Un homme court en avançant vers nous. Plusieurs bande-film sont superposées et le rendent flou)
Comment faire percevoir la disparition, superposition, présence qui envahit l'écran, présence fantomatique, homme qui vient sur nous ?
> Outils de médiation : passer un voile sur le visage et faire écouter une bande sonore du lieu dans lequel cette course s'est passée (place du capitole, Toulouse). Dans la bande son les bruits se superposent petit à petit jusqu'à saturation : créer impression de répétition, crescendo. Au départ une personne court seule et au fur et à mesure, le nombre des personnes augmente.
• Série des images satellite (plan de ville avec tracé du parcours couru)
> Outils de médiation : reproduction de l'image en plus petit. Renforcer les contrastes pour mettre en évidence le vert. Carte tactile (tracé du parcours en relief). Piste olfactive : faire sentir des végétaux (cf feuille et plante représentées par le parcours du coureur sur la carte).
Discussion entre public et médiateur
- Notion de parcours
- Carte en relief
lire la suite
A la demande de Yohann (non-voyant), notre groupe a refait un tour complet de l'exposition sous forme de visite. Pour chaque œuvre, il nous demandait de lui décrire ce qu'il avait devant les yeux, à savoir : l'œuvre (le mode d'accrochage de l'œuvre, le(s) sujets représenté(s), la manière dont ils sont représentés, les couleurs, des éléments particuliers... bref, une description orale avec le maximum de détails possible) et le cartel (titre complet, dates, matériaux, dimensions), afin qu'il puisse se les représenter mentalement.
Importance de la pluralité des points de vue.
Cette visite suivie d'une discussion avec Yohann a pointé l'importance d'envisager, à coté de la médiation en groupe, des outils de médiations permettant une visite seul en autonomie (description plastique de l'œuvre, cartel complet...).
Ensuite nous nous sommes demandé quel était le fil conducteur de cette exposition et nous nous sommes mis d'accord sur la notion de parcours, de déplacement.
Notre idée en terme d'outils de médiation serait de proposer à chaque visiteur déficient visuel de tracer sur un support encore non défini (planche à dessiner, gravure, tablette tactile (?)) le parcours qu'il fera tout au long de sa première découverte de l'espace d'exposition. Nous souhaitons ainsi lui permettre d'expérimenter le procédé (mouvement, déplacement du corps dans l'espace, trace, motif, symbole) que l'artiste met en œuvre dans sa démarche.
Proposition de médiation :
- du lieu (contexte), de l'artiste (âge, nationalité) et de sa pratique en général.
- de l'outil de médiation (support à tracer/graver) et des « règles du jeu » (retranscrire son parcours tout au long de sa déambulation dans l'espace d'exposition)
Première visite globale de l'exposition en s'arrêtant devant chaque œuvre mais sans la décrire de manière détaillée (par exemple : ici il y a 8 vidéos où l'on voit un homme courir, ici il y a une grande vue satellite, etc.) pour ne pas donner trop vite toutes les clefs de lecture de l'expo mais plutôt pour susciter les interrogations, la curiosité.
S'arrêter devant l'une des 4 vues satellite et faire le lien avec l'exercice réalisé pour la décrire de manière plus explicite et plus détaillée.
Prévoir une reproduction de la vue satellite en carte tactile avec des reliefs plus affirmés pour les tracés colorées.
Puis faire le lien avec les autres pièces exposées, les décrire de façon plus approfondie, plus détaillée, donner les titres, en parler.
.
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Ont participé à cet atelier :A la demande de Yohann (non-voyant), notre groupe a refait un tour complet de l'exposition sous forme de visite. Pour chaque œuvre, il nous demandait de lui décrire ce qu'il avait devant les yeux, à savoir : l'œuvre (le mode d'accrochage de l'œuvre, le(s) sujets représenté(s), la manière dont ils sont représentés, les couleurs, des éléments particuliers... bref, une description orale avec le maximum de détails possible) et le cartel (titre complet, dates, matériaux, dimensions), afin qu'il puisse se les représenter mentalement.
Importance de la pluralité des points de vue.
Cette visite suivie d'une discussion avec Yohann a pointé l'importance d'envisager, à coté de la médiation en groupe, des outils de médiations permettant une visite seul en autonomie (description plastique de l'œuvre, cartel complet...).
Ensuite nous nous sommes demandé quel était le fil conducteur de cette exposition et nous nous sommes mis d'accord sur la notion de parcours, de déplacement.
Notre idée en terme d'outils de médiation serait de proposer à chaque visiteur déficient visuel de tracer sur un support encore non défini (planche à dessiner, gravure, tablette tactile (?)) le parcours qu'il fera tout au long de sa première découverte de l'espace d'exposition. Nous souhaitons ainsi lui permettre d'expérimenter le procédé (mouvement, déplacement du corps dans l'espace, trace, motif, symbole) que l'artiste met en œuvre dans sa démarche.
Proposition de médiation :
- du lieu (contexte), de l'artiste (âge, nationalité) et de sa pratique en général.
- de l'outil de médiation (support à tracer/graver) et des « règles du jeu » (retranscrire son parcours tout au long de sa déambulation dans l'espace d'exposition)
Première visite globale de l'exposition en s'arrêtant devant chaque œuvre mais sans la décrire de manière détaillée (par exemple : ici il y a 8 vidéos où l'on voit un homme courir, ici il y a une grande vue satellite, etc.) pour ne pas donner trop vite toutes les clefs de lecture de l'expo mais plutôt pour susciter les interrogations, la curiosité.
S'arrêter devant l'une des 4 vues satellite et faire le lien avec l'exercice réalisé pour la décrire de manière plus explicite et plus détaillée.
Prévoir une reproduction de la vue satellite en carte tactile avec des reliefs plus affirmés pour les tracés colorées.
Puis faire le lien avec les autres pièces exposées, les décrire de façon plus approfondie, plus détaillée, donner les titres, en parler.
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Ont participé à cet atelier :- Médiation sonore
- Carte en relief
- Fac-similé
- Danse, déplacement lire la suite
Médiation proposée à un groupe accompagné (pas des individuels)
Choix de 4 œuvres dans l'exposition
Chaque vidéo est reliée à un casque qui traduit en langage sonore les images (bruits de ville, bruits de villes étrangères, bruits de courses, enregistrement de souffle, halètements…).
Dans un casque supplémentaire, on entend un son très dense qui correspond à l'ensemble des sons imaginaires des vidéos. Tous ces sons étant superposés.
Dégager une parole, un échange avec le médiateur et le public
Relief « bas » pour la ville, relief « haut » pour le dessin du trajet représentant une feuille.
Choix de couleur criardes et contrastées pour une meilleure lisibilité.
Carte couplée à un descriptif audio de l'œuvre.
Les figurines sont des œuvres trop fragiles pour être touchées, aussi nous proposons d'en faire une reproduction partielle qui pourra être manipulée. Fac-similé
Objectif : faire appréhender l'échelle (minuscule), la multiplicité.
Passer du rez de chaussée au sous-sol jusque dans les caves : évoquer la plongée sous marine des vidéos. Écoute de la vidéo
Inspiré de la danse buto : cette danse s'empare des éléments naturels et des émotions intérieures pour provoquer le mouvement.
Diffusion de sons extraits de la vidéo.
Invitation à imaginer des mouvements évoquant les ambiances de la vidéo : marcher dans l'eau, marcher sous l'eau avec une contrainte, remonter à la surface respirer, nager sans entrave...
L'intervenant propose aussi un son qui n'est pas inclus dans la vidéo mais qui renvoie à l'interprétation qu'il se fait de l'image.
Médiation proposée à un groupe accompagné (pas des individuels)
Choix de 4 œuvres dans l'exposition
Chaque vidéo est reliée à un casque qui traduit en langage sonore les images (bruits de ville, bruits de villes étrangères, bruits de courses, enregistrement de souffle, halètements…).
Dans un casque supplémentaire, on entend un son très dense qui correspond à l'ensemble des sons imaginaires des vidéos. Tous ces sons étant superposés.
Dégager une parole, un échange avec le médiateur et le public
Relief « bas » pour la ville, relief « haut » pour le dessin du trajet représentant une feuille.
Choix de couleur criardes et contrastées pour une meilleure lisibilité.
Carte couplée à un descriptif audio de l'œuvre.
Les figurines sont des œuvres trop fragiles pour être touchées, aussi nous proposons d'en faire une reproduction partielle qui pourra être manipulée. Fac-similé
Objectif : faire appréhender l'échelle (minuscule), la multiplicité.
Passer du rez de chaussée au sous-sol jusque dans les caves : évoquer la plongée sous marine des vidéos. Écoute de la vidéo
Inspiré de la danse buto : cette danse s'empare des éléments naturels et des émotions intérieures pour provoquer le mouvement.
Diffusion de sons extraits de la vidéo.
Invitation à imaginer des mouvements évoquant les ambiances de la vidéo : marcher dans l'eau, marcher sous l'eau avec une contrainte, remonter à la surface respirer, nager sans entrave...
L'intervenant propose aussi un son qui n'est pas inclus dans la vidéo mais qui renvoie à l'interprétation qu'il se fait de l'image.