Qui sommes-nous ?

Espace de formation, d'expérimentation, d'échange et de débats, le LMAC-MP rassemble une trentaine de
professionnels issus de centres d'art, musées, associations ou services culturels de
collectivités territoriales de la région Midi-Pyrénées dont la pratique est en lien avec la
médiation en art contemporain.
Ce laboratoire est le fruit d'un processus dont l'origine est une formation continue pour les
médiateurs en art contemporain, initiée fin 2002 par la Direction régionale des affaires
culturelles (DRAC) Midi-Pyrénées et confiée pour sa mise en oeuvre au Centre de
photographie de Lectoure.
Dés l'année suivante, la Région Midi-Pyrénées a rejoint la DRAC pour soutenir cette
initiative.

Après trois années de formation aux fondamentaux de la médiation culturelle avec des
intervenants extérieurs, les stagiaires ont exprimé le besoin d'être plus actifs dans la
formation. D'où l'initiative en 2005 de s'intéresser aux questions relatives à l'évaluation,
problématique devenue centrale avec la mise en place de la LOLF (Loi organique relative
aux lois de finances).
Répondre aux demandes d'évaluation de l'administration, sans les subir, s'approprier ses
outils et ses techniques, considérer l'évaluation comme un outil pour prendre du recul par
rapport aux pratiques de médiation…, tels étaient les principaux enjeux de la mise en place
de cette recherche-action, en étroite collaboration avec Jean-Christophe Vilatte, chercheur
du laboratoire de recherche en communication d'Avignon. De ce travail de remise à plat,
d'analyse, voire de remise en questions, des projets ont émergé des besoins et demandes
précis d'évaluation.

L'émergence des groupes de travail thématiques

Pour traiter ces demandes, des groupes de travail thématiques autonomes se sont
constitués fin 2006. Ils se réunissent à intervalles réguliers entre les deux sessions
plénières annuelles. Ce qui n'était jusqu'alors qu'un simple réseau de professionnels réunis
autour d'un objectif de formation est devenu un véritable laboratoire, lieu de création,
d'expérimentations, d'échanges de pratiques et de conseils, où chacun est acteur dans la
production de réflexions sur la médiation en art contemporain, mais aussi dans la mise en place d'outils d'évaluation ou, plus généralement, de médiation.

Aujourd'hui, une certaine « culture » de l'évaluation étant acquise au sein de ce réseau, les groupes de travail se sont recentrés sur des problématiques plus strictement liées à la médiation en art contemporain et son environnement et s'investissent, à tour de rôle, dans la préparation d'une journée thématique à l'occasion de chaque session plénière .

Espace de formation, d'expérimentation, d'échange et de débats, le LMAC-MP rassemble une trentaine de
professionnels issus de centres d'art, musées, associations ou services culturels de
collectivités territoriales de la région Midi-Pyrénées dont la pratique est en lien avec la
médiation en art contemporain.
Ce laboratoire est le fruit d'un processus dont l'origine est une formation continue pour les
médiateurs en art contemporain, initiée fin 2002 par la Direction régionale des affaires
culturelles (DRAC) Midi-Pyrénées et confiée pour sa mise en oeuvre au Centre de
photographie de Lectoure.
Dés l'année suivante, la Région Midi-Pyrénées a rejoint la DRAC pour soutenir cette
initiative.

Après trois années de formation aux fondamentaux de la médiation culturelle avec des
intervenants extérieurs, les stagiaires ont exprimé le besoin d'être plus actifs dans la
formation. D'où l'initiative en 2005 de s'intéresser aux questions relatives à l'évaluation,
problématique devenue centrale avec la mise en place de la LOLF (Loi organique relative
aux lois de finances).
Répondre aux demandes d'évaluation de l'administration, sans les subir, s'approprier ses
outils et ses techniques, considérer l'évaluation comme un outil pour prendre du recul par
rapport aux pratiques de médiation…, tels étaient les principaux enjeux de la mise en place
de cette recherche-action, en étroite collaboration avec Jean-Christophe Vilatte, chercheur
du laboratoire de recherche en communication d'Avignon. De ce travail de remise à plat,
d'analyse, voire de remise en questions, des projets ont émergé des besoins et demandes
précis d'évaluation.

L'émergence des groupes de travail thématiques

Pour traiter ces demandes, des groupes de travail thématiques autonomes se sont
constitués fin 2006. Ils se réunissent à intervalles réguliers entre les deux sessions
plénières annuelles. Ce qui n'était jusqu'alors qu'un simple réseau de professionnels réunis
autour d'un objectif de formation est devenu un véritable laboratoire, lieu de création,
d'expérimentations, d'échanges de pratiques et de conseils, où chacun est acteur dans la
production de réflexions sur la médiation en art contemporain, mais aussi dans la mise en place d'outils d'évaluation ou, plus généralement, de médiation.

Aujourd'hui, une certaine « culture » de l'évaluation étant acquise au sein de ce réseau, les groupes de travail se sont recentrés sur des problématiques plus strictement liées à la médiation en art contemporain et son environnement et s'investissent, à tour de rôle, dans la préparation d'une journée thématique à l'occasion de chaque session plénière .

La Charte du CESDV - Institut des Jeunes Aveugles de Toulouse témoigne de l'engagement des différents professionnels de notre établissement ainsi que des responsables qui le gèrent à :

- Accueillir et accompagner dans leur devenir les personnes (enfants, jeunes, adultes et leurs familles) confrontées à une situation de handicap visuel, parfois associée à d'autres difficultés.

- Créer avec elles une dynamique de vie, respectueuse de leur identité, de leur culture, de leur religion et de leur projet, à partir d'actions d'éducation, d'enseignement, de formation et de soins.

- Développer leur capacité d'adaptation pour être une institution ouverte, ancrée dans la société.

CESDV-Institut des Jeunes Aveugles de Toulouse

La Charte du CESDV - Institut des Jeunes Aveugles de Toulouse témoigne de l'engagement des différents professionnels de notre établissement ainsi que des responsables qui le gèrent à :

- Accueillir et accompagner dans leur devenir les personnes (enfants, jeunes, adultes et leurs familles) confrontées à une situation de handicap visuel, parfois associée à d'autres difficultés.

- Créer avec elles une dynamique de vie, respectueuse de leur identité, de leur culture, de leur religion et de leur projet, à partir d'actions d'éducation, d'enseignement, de formation et de soins.

- Développer leur capacité d'adaptation pour être une institution ouverte, ancrée dans la société.

CESDV-Institut des Jeunes Aveugles de Toulouse

Claude Laffitte

Malvoyant, Claude Laffitte est enseignant technique (administration, bureautique, secrétariat) à l'Institut des Jeunes Aveugles de Toulouse. Il est sensible aux arts plastiques et aime "vivre des expériences et les partager". Pour lui, intellectualiser le handicap ce n'est pas le vivre et il trouve que bien souvent, les voyants qui réfléchissent à l'accueil de personnes déficientes visuelles parlent, agissent et décident un peu trop à leur place.
Souvent impénétrable dans une première approche, l'art contemporain devient plus accessible lorsque les clés de la démarche intellectuelle et plasticienne de l'artiste ont été données. Le travail de médiation, les adaptations sensorielles et la création d'ateliers ouvrent des perspectives.

Yohann Poulain

Non-voyant de naissance, Yohann Poulain est musicien de formation, il s'intéresse de très près à l'écriture et aux expressions artistiques d'une manière générale.

Maud Dupeux

Maud Dupeux est psychomotricienne et instructrice de locomotion à l'Institut des Jeunes Aveugles et a réalisé l'ensemble de son expérience professionnelle auprès de jeunes, adolescents ou adultes déficient visuels. Elle aide les personnes déficientes visuelles confrontées à des difficultés psychologiques vécues et exprimées de façon corporelle à retrouver un équilibre psychocorporel, à mieux prendre conscience de leur corps et à mieux le maîtriser.

Ludivine Chopard

Musicienne, enseignante de musique spécialisée et musicothérapeute au Centre Lestrade-CIVAL (Centre Interdépartemental de la Vision, de l'Audition et du Langage de Ramonville).
Ludivine Chopard accompagne de jeunes handicapés déficients visuels avec handicaps associés importants et les initie à la pratique musicale.
Les ateliers musicaux permettent de créer un espace de rencontre. La musique évoque des pensées et produit parfois des réactions physiques. C'est pour cela qu'elle a un impact important chez les personnes déficientes sensorielles. L'imagination et la créativité sollicitées dans les ateliers musicaux améliorent la motricité et les échanges relationnels. La musique nous apprend à mieux nous connaître, s'évaluer, se dépasser.

Cathy Cavaillès

non-voyante, enseignante spécialisée à l'IJA.

Gilles Alliouz,

son compagnon, malvoyant.

Claire Ponselle

Plasticienne-chargée de projets pour le jeune public et les scolaires au musée des Augustins, ex-designer textile, elle poursuit un travail autour du motif : graphisme, peintures et monotypes, gravures, installations... Elle s'occupe également de jeunes enfants en situation de handicap pour leur permettre de « voir avec le toucher ». Dans ce cadre elle conçoit, modèle et fait fabriquer par des professionnels des outils de médiation spéciaux : reproduction d'œuvres en images décomposées thermoformées, jeux de matières, d'imaginaire, outils de sculpteur, parcours auditif, etc.

Cécile Burali,

non voyante de naissance, étudiante

Jessica Caujolle,

non-voyante, étudiante

 Claude Chavanon, CESDV/IJA,

orthoptiste

Caroline Legros

intervenante en art pour le public déficient visuel au musée des Abattoirs

Amandine Gallego, 

non-voyante, étudiante à l'IJA

Léona Pistre,

non voyante, rectorat de Toulouse

Jean-Michel Ramos, pôle l'œil et la lettre, médiathèque José Cabanis

Adjoint du patrimoine à la Médiathèque José CABANIS de Toulouse. Avec comme objectifs : promouvoir le livre et la lecture et favoriser l'accès à la culture auprès du public, développer l'accessibilité à la lecture auprès du public déficient visuels à travers des outils de lecture spécifiques, rendre accessible les animations culturelles proposées en bibliothèques et valoriser les actions de partenariat avec les structure de la ville.

Emmanuelle Rehal,

Office du tourisme de Toulouse

Flora Soldé,

mal-voyante

Delphine Toubert,

psychomotricienne au CESDV-IJA

Centre ASEI André Mathis

Service de Soins de Suite et de Réadaptation en basse vision (SSR)
Centre Médico-Social pour personnes déficientes visuelles ou avec des troubles spécifiques du langage (CMS). Implanté à St Gaudens depuis 2009 ce centre accueille des adolescents (filles et garçons), de 14 à 20 ans présentant une déficience visuelle avec ou sans troubles associés ou des troubles spécifiques du langage, souhaitant suivre une formation professionnelle avec un projet personnalisé (remise à niveau, CAP, BAC PRO). Il accueille également des adultes de plus de 18 ans présentant une déficience visuelle suite à un accident de la vie, pour des séjours de 2 à 6 mois, afin de suivre une rééducation personnalisée avec pour objectif un retour à domicile en toute autonomie et sécurité.

Claude Laffitte

Malvoyant, Claude Laffitte est enseignant technique (administration, bureautique, secrétariat) à l'Institut des Jeunes Aveugles de Toulouse. Il est sensible aux arts plastiques et aime "vivre des expériences et les partager". Pour lui, intellectualiser le handicap ce n'est pas le vivre et il trouve que bien souvent, les voyants qui réfléchissent à l'accueil de personnes déficientes visuelles parlent, agissent et décident un peu trop à leur place.
Souvent impénétrable dans une première approche, l'art contemporain devient plus accessible lorsque les clés de la démarche intellectuelle et plasticienne de l'artiste ont été données. Le travail de médiation, les adaptations sensorielles et la création d'ateliers ouvrent des perspectives.

Yohann Poulain

Non-voyant de naissance, Yohann Poulain est musicien de formation, il s'intéresse de très près à l'écriture et aux expressions artistiques d'une manière générale.

Maud Dupeux

Maud Dupeux est psychomotricienne et instructrice de locomotion à l'Institut des Jeunes Aveugles et a réalisé l'ensemble de son expérience professionnelle auprès de jeunes, adolescents ou adultes déficient visuels. Elle aide les personnes déficientes visuelles confrontées à des difficultés psychologiques vécues et exprimées de façon corporelle à retrouver un équilibre psychocorporel, à mieux prendre conscience de leur corps et à mieux le maîtriser.

Ludivine Chopard

Musicienne, enseignante de musique spécialisée et musicothérapeute au Centre Lestrade-CIVAL (Centre Interdépartemental de la Vision, de l'Audition et du Langage de Ramonville).
Ludivine Chopard accompagne de jeunes handicapés déficients visuels avec handicaps associés importants et les initie à la pratique musicale.
Les ateliers musicaux permettent de créer un espace de rencontre. La musique évoque des pensées et produit parfois des réactions physiques. C'est pour cela qu'elle a un impact important chez les personnes déficientes sensorielles. L'imagination et la créativité sollicitées dans les ateliers musicaux améliorent la motricité et les échanges relationnels. La musique nous apprend à mieux nous connaître, s'évaluer, se dépasser.

Cathy Cavaillès

non-voyante, enseignante spécialisée à l'IJA.

Gilles Alliouz,

son compagnon, malvoyant.

Claire Ponselle

Plasticienne-chargée de projets pour le jeune public et les scolaires au musée des Augustins, ex-designer textile, elle poursuit un travail autour du motif : graphisme, peintures et monotypes, gravures, installations... Elle s'occupe également de jeunes enfants en situation de handicap pour leur permettre de « voir avec le toucher ». Dans ce cadre elle conçoit, modèle et fait fabriquer par des professionnels des outils de médiation spéciaux : reproduction d'œuvres en images décomposées thermoformées, jeux de matières, d'imaginaire, outils de sculpteur, parcours auditif, etc.

Cécile Burali,

non voyante de naissance, étudiante

Jessica Caujolle,

non-voyante, étudiante

 Claude Chavanon, CESDV/IJA,

orthoptiste

Caroline Legros

intervenante en art pour le public déficient visuel au musée des Abattoirs

Amandine Gallego, 

non-voyante, étudiante à l'IJA

Léona Pistre,

non voyante, rectorat de Toulouse

Jean-Michel Ramos, pôle l'œil et la lettre, médiathèque José Cabanis

Adjoint du patrimoine à la Médiathèque José CABANIS de Toulouse. Avec comme objectifs : promouvoir le livre et la lecture et favoriser l'accès à la culture auprès du public, développer l'accessibilité à la lecture auprès du public déficient visuels à travers des outils de lecture spécifiques, rendre accessible les animations culturelles proposées en bibliothèques et valoriser les actions de partenariat avec les structure de la ville.

Emmanuelle Rehal,

Office du tourisme de Toulouse

Flora Soldé,

mal-voyante

Delphine Toubert,

psychomotricienne au CESDV-IJA

Centre ASEI André Mathis

Service de Soins de Suite et de Réadaptation en basse vision (SSR)
Centre Médico-Social pour personnes déficientes visuelles ou avec des troubles spécifiques du langage (CMS). Implanté à St Gaudens depuis 2009 ce centre accueille des adolescents (filles et garçons), de 14 à 20 ans présentant une déficience visuelle avec ou sans troubles associés ou des troubles spécifiques du langage, souhaitant suivre une formation professionnelle avec un projet personnalisé (remise à niveau, CAP, BAC PRO). Il accueille également des adultes de plus de 18 ans présentant une déficience visuelle suite à un accident de la vie, pour des séjours de 2 à 6 mois, afin de suivre une rééducation personnalisée avec pour objectif un retour à domicile en toute autonomie et sécurité.